venerdì 9 dicembre 2011

ELVIS

L'encyclopédique Elvis Costello aime monographiques chapitres. Une fois cowboy de Prairie, un autre rocker, mad, une autre encore, jazz-man avec le coeur à la main.

« National rançon » Costello ne le plus encore. Dans la pratique, les mélanges ce que nous dit juste et, ce qui est plus étonnant est que c'est vraiment bien. Le dernier ouvrage de Patrick de Declan MacManus, son vrai nom, serait nommé avec le nom de ce LP loin de la semaine de travail, ou « la Verieté », en raison de l'humeur qu'Elvis lui-même est capable d'offrir, sans considérer le paysage musical coloré, contenu dans la « rançon National ».

De la chanson dans la chanson, le chanteur est placides, inca Londres ** ato et onirique, mais aussi mélancolique et nostalgique, pensant ou étant dirigée par Dylan Leon Russel directement dans le ' 50, appuyé par un excellent orchestre. Même en « lente glisser avec Joséphine » va plus loin, jouant le style rock ' ne roll « 20 ans ».

Produit l'album t Bone Burnett. Jouer Marc Ribot, Stevie Nieve, Buddy Miller et Jerry Douglas et, ensemble, constituent une véritable « Académie des érudits ». Ajouter le rouge et obsessions et nous exaspération « Rançon National », pas le disque parfait, mais un autre bon de travail d'un bébé de Costello, qui, à ce stade, va changer jamais

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